Théâtre
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Folies
Bergère |
Lieu
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Paris,
France |
Genre
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Comédie
Musicale |
Date
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15
septembre - 22 novembre 1997 |
Créateurs
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Arthur
Kopit (Livret),
Maury Yeston (Musique), Mario Fratti (Adaptation), Eric-Emmanuel Schmitt
(Lyrics français) |
Metteur
en scène
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Saverio
Marconi |
Décor
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David
Belugou |
Lumières
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André
Diot |
Chorégraphie
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Fabrizio
Angelini |
Producteur
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Hélène
Martini |
Distribution
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Jérôme
Pradon (Guido Contini), Luisa Baileche (Luisa del Forno), Sophie Tellier
(Sandra Albanese), Lisbet Bongarçon (Claudia Nardi), Annick
Cisaruk (Lilianne la Fleur) |
Synopsis
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Guido
Contini a 40 ans, une réputation de génie cinématographique,
mais il se trouve en pleine dépression nerveuse et en panne
d'inspiration. Obligé par les circonstances à travailler,
il n'arrive pas à mettre de l'ordre dans ses idées.
Pour qu'on le laisse en paix il fait et dit n'importe quoi. Il ment
à sa productrice à laquelle il assure que son scénario
est déjà écrit, il promet des rôles, il
hésite sur le film et trompe de plus en plus mal toutes les
femmes de sa vie, Luisa son épouse, Sandra sa maîtresse,
Claudia son actrice fétiche. Il retourne souvent dans son passé,
comme pour y chercher des excuses ou des forces, et il y retrouve
les femmes qui l'ont mis au monde, les deux Femmes Fondatrices: la
Mère et la Putain. A la fin de la pièce, Guido trouve
enfin à se regénérer dans l'échec. C'est
lorsqu'il ne peut achever son tournage, lorsqu'il perd toutes ses
femmes, qu'il réalise enfin qu'il doit cesser de mentir, de
se vouloir autre qu'il n'est, d'accepter ses limites. Ses peurs, ses
complexes ses angoisses, sont aussi sa richesse. Il ne doit pas fuir
la confusion, car la confusion, elle-même, est la vie. |

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